LA SEQUESTRATION DE PATRON DEVIENT LEGALE
Les premières grèves de l'humanité sont généralement situées pendant les crises de l'époque ramsique, en Egypte (à partir de vers -1200 à -1050), mais le moyen de séquestration n'avaient été généralisées que lors les événements des années mille neuf cent soixante-dix, soit postérieurement de trois millénaires !
Une nouvelle étape est franchie, par la volonté d'ouverture de Brice Hortefeux, dont les mauvaises langues diront que c'est "pour se faire bien voir des pauvres", sera néanmoins reconnue "progressiste", par le sociologue de Lutte Ouvrière Ramuncho Ramonez, et transformée dans la loi: la séquestration de patrons, selon le texte officiel "non-éthiques", devient légalement encadrée par la loi.
D'abord enfermé, le patron pourra être directement transféré en prison et séquestré, dans les conditions pénitentiaires usuelles, sur simple coup de téléphone au commissariat le plus proche, d'une coordination syndicale d'au moins deux personnes.
Après relaxe (dix jours), une astreinte, permettant un contrôle strict des allées et venues, devra contraindre le patron à se faire soigner, en cas de non-présentation.
Gageons que ces nouvelles mesures équilibreront les tendances à délocaliser.
Les "Jeunes Bien Habillés" arguent souvent du manque de liquidité pour délocaliser